Gazette CHSCT Janvier 2019
Espace Service Santé IPECA
Opticien, généraliste et ostéopathe sur le Campus 2
L’ensemble des salariés Airbus aura accès aux trois services localisés au bureau B23-0718, occupé jusqu’à l’année dernière par les Field Service. Les travaux devraient s’achever fin janvier.
Le coût des consultations médicales et ostéopathiques sera pris en charge à 100% par l’IPECA pour tous les salariés Airbus. Le service d’optique « C’évidentia » fera bénéficier les adhérents IPECA d’un taux préférentiel.
A noter que les rendez-vous médicaux ne pourront être réservés plus de 48 heures à l’avance, considérant qu’au-delà le salarié est en mesure de consulter son propre gé- néraliste. Une appli
permettra de prendre rendez-vous.
Déménagement d’ATI de Blagnac à Saint Martin
Report à septembre 2019
Tous les salariés d’ATI seront centralisés à Saint-Martin. Le planning initial prévoyait un déménagement au printemps. Les bâtiments H10, H11 et H16 sont censés revenir à l’aéroport qui en est propriétaire.
Accidents du travail
Les troubles psycho sociaux en hausse
10 cas d’accidents du travail (AT), sur un total de 76, ont été déclarés en 2018 à Airbus Commercial Toulouse pour des causes liées au mal-être au travail.
Pour rappel, tout salarié peut demander que son cas soit déclaré en AT, ce qui ouvre droit à des indemnités majorées, mais la décision finale quant à cette classification revient à la CPAM.
Parking P28
Afin de faire face à l’augmentation des effectifs de S, le BL1, composé de containers, va être remonté sur le parking P28 d’ici fin mars, à l’endroit qu’il occupait déjà il y a quelques années.
Parkings vélos
Face à l’augmentation du nombre de cyclistes, le CHSCT demande à la Direction d’augmenter la capacité des parkings deux roues.
Violence et harcèlement
Un traitement plus structuré
Un nouveau processus pilote, commun à Airbus SAS et Airbus Opérations SAS, a été défini.
Désormais le traitement des cas de violence et de harcèlement au travail ne sera plus alloué aux HRBP des départements concernés, mais à d’autres HRBP. Spécialement formés, ils seront épaulés par le service médical, le département légal, le groupe HR Health & Safety et le responsable de la fonction.
Trois cas ont déjà été traités avec ce nouveau dispositif.
Une réflexion a également été lancée afin d’assurer un maximum de protection aux plaignants comme aux témoins.